Après un échec assez retentissant avec la romance YA/NA et un petit détour par les rugbymen à l’honneur, je suis ravie de pouvoir vous dire que cette semaine, le nouvel élément de ma PAL automnale « à l’aveugle » est une franche réussite.
Je m’en suis retournée vers mes premiers amours : la romance historique, et la régence (quoiqu’on me dise dans l’oreillette que mes premiers historiques était des américains Far-West et des médiévaux). En voyant ce titre à rallonge, je me suis dit qu’à défaut de lire le synopsis, j’avais au moins quelques indications sur la nature de la régence en question.
Once a wallflower, at last his love – Hier une wallflower, aujourd’hui son amour (en français, dans le texte) me donnait deux indications :
1) Il serait sans doute question d’une héroïne avec la tête sur les épaules, qui ne va pas glousser et minauder comme une abrutie devant le héros, qui saura faire entendre sa voix et n’aura pas peur de montrer qu’elle a une opinion et un avis. Oui, je m’imagine bien souvent les wallflowers comme ça. Sans doute pas aussi dashing physiquement que les belles du bal, mais avec une tête bien faite. Parfois, je vous l’accorde, elles sont un peu timides. Mais il ne faut jamais sous-estimer l’intelligence qui se cache derrière le silence d’une personne qui rougit de timidité.
2) La seconde partie du titre m’informait qu’il serait sans doute question d’un héros qui se découvre des sentiments pour celle qui n’avait pourtant pas tout pour lui faire tourner la tête. Un héros qui pensait qu’il voulait une femme « traditionnelle » (comprendre qui présente bien et sait recevoir) mais qui à l’insu de son plein gré se retrouve captivé par une héroïne qui faisait tapisserie. J’aime bien les héros qui se laissent surprendre par leur sentiments. Changer d’avis et reconnaitre que finalement, on avait pas tout à fait raison est une preuve d’intelligence, et clairement, j’ai un faible pour les héros qui sont intelligents.
Alors voilà, avec le titre, je me disais que potentiellement, je pouvais lire une très jolie histoire. Et vous savez quoi? Si reconnaitre qu’on a tort est une bonne chose, c’est quand même vachement sympa d’avoir raison!
Ce livre était un délice. Sweet et cute, juste ce qu’il faut d’humour, juste ce qu’il faut de surprise. Et exactement ce que j’avais prédit pour ses héros, Hermione Rogers et Sebastian Fitzhugh, 5ème conte de Mallen.
Elle est poussée par la nécessité de sauver sa famille, est loyale et aimante, protectrice et secrète. Il est droit et honnête, très conscient de son rôle et de ses responsabilités, et fort séduisant ce qui ne gâche rien.
Lire ce livre a ramené un sourire sur mes lèvres (après les grognements sur le précédents, c’était plutôt une réussite), et si son exécution et le rythme de l’histoire ont été soigné sur les trois quarts du livre, je regrette la résolution de toutes les problématiques un peu expéditive.
Cela n’en reste pas moins une excellente lecture!
Tam-Tam
Et voilà, vous recommencez: j’ouvre votre blog, je commence a lire l’article et sans savoir comment ni pourquoi je me réveille avec mon Kobo et ma carte bleue dans les mains ! Bande de viles tentatrices…
Au fait t’en as lu d’autres de cette série ? On peut commencer au 6 sans problème ?
j’en ai pas lu d’autre…mais tu me donnes de idées ^^
Et à la grande surprise, moi j’ai lu des Christi Caldwell et je partage tout à fait ton avis. Un bon mélange d’humour, de sweetitude et d’action. Très réussi. J’aimerais qu’ils soient traduits en Français pour nos amis!
tu as lu les autres?
peut etre peux tu me conseiller héhé