14 choses qui ont marqué 2014

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Pas forcément les plus populaires, pas forcément des lectures non plus, mais juste, ce qui restera pour nous, quelques bons souvenirs de 2014 :

1- Le rap des princesses

2- Ariel en goguette qui rencontre ses auteurs chéris

3- Un grand débat sur les plus beaux baisers de cinéma

4- T. qui découvre Gilmore Girls

5 et 6- Sa Majesté qui fait le mannequin et découvre le pouvoir de la romance

7- T. qui écrit une lettre d’amour à Tom

8- C. qui complete sa collection de peintures

9- Courtney Milan qui répond à nos questions

10- Penny Reid qui envoie un livre à C. pour son anniversaire

11- C. qui tombe folle amoureuse de Drew

12- T. qui trouve une licorne

13- Un homme qui s’invite en guest-star

14- T. qui developpe des théories sur les mots-clés de l’internet

On vous souhaite à tous une très bonne fin d’année 2014 et on vous retrouve l’an prochain pour de nouvelles aventures!

 

Love,

Chi-Chi et Tam-Tam

 

Des livres pour Noël

Noël, après avoir occupé tous les esprits pendant des semaines, est passé par là, vous avez reçu des livres sympas ? Moi, pas spécialement (plus personne n’ose m’offrir de livres), mais avec la fin de l’année qui pointe à l’horizon (genre deux jours quand même, il peut encore s’en passer des choses), j’ai lu pas mal de choses sympas que je veux vous faire partager, ça sera mon cadeau de Noël !

J’espérais me régaler de romances de Noël, mais à quelques exceptions près, ce fut un « fail » total.

Du coup, je vous recommande en passant The backup boyfriend de River Jaymes.

OMG que se passe-t-il, c’est un M/M !!! Comprendre, un genre qui d’habitude me laisse de marbre (une sombre histoire d’identification), mais il a suffi d’un mini-commentaire sur Goodreads avec une phrase, une seule, de l’un des héros, qui m’a accrochée. Du coup, je me suis lancée. Un beau docteur gay qui s’achète une moto sur un coup de tête et demande un coup de main à un fringant garagiste, lequel, bien que pas gay du tout, se propose de se faire passer pour son boyfriend, quand l’ex (du docteur) revient dans le paysage. Ma foi fort étrange idée, mais admettons ! (comment, pourquoi, tout vous sera révélé en temps utile)

La suite est top, bien écrite, très intense aussi bien émotionnellement que physiquement (j’ai eu chaud), et malgré quelques petits détails pas logiques, j’ai plongé dans l’histoire et applaudi à chaque progrès fait dans la bonne direction (la mienne donc).

Une très chouette lecture que je recommande à tous, même si comme moi vous n’êtes pas fan du genre à l’origine !

Autre réussite de ces dernières semaines, You don’t have to say you love me de Sarra Manning, avec une héroïne british (j’adore lire des histoires qui se passent à Londres en ce moment, cela me donne l’impression de vivre dans un livre), la jolie Neve. Le souci c’est que Neve ne se trouve pas jolie, et vous comprendrez pourquoi… Alors quand Max, le très sexy, très fashion-hipster Max, éditeur dans un magazine de mode Max, fait mine de s’intéresser à elle, dire qu’elle est perplexe serait un euphémisme.

Neve et Max ensemble c’est mignon comme tout, c’est une histoire qui partait mal et où chacun apprend à se dépasser au contact de l’autre, et c’est bien raconté, et c’est drôle (et j’ai mentionné mignon comme tout ?) ! Le tout au son de la chanson de Dusty Springfield, que j’adore…

Bon et puis aussi, j’ai lu Les yeux de Léon de Jo Ann Von Haff, je swoone toujours autant pour ses héros atypiques…

Et j’ai lu Rowdy de Jay Crownover, et si je swoone moins que pour Rule, c’est un bon tome de la série, qui évite plutôt habilement les clichés du triangle amoureux que je redoutais à la lecture des histoires précédentes…

Enfin, j’ai relu (pour la 4eme fois) Her best worst mistake, je swoone toujours autant, c’est une lecture doudou infaillible en cas de baisse de régime !

Sur ces bonnes paroles, je vous laisse et je retourne travailler (hélas, pas de vacances pour moi ce Noel, et tout ce temps en moins pour lire !!!).

Bonne lecture,

Chi-Chi

Il était un fois, Tome 2 – La belle et la bête

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(Réédition du 07/03/2011)
Aujourd’hui, j’aimerais pouvoir résumer ma chronique en un seul mot : WOW !!!
Alors oui, forcément, cela ne va pas beaucoup vous aider pour savoir que quoi parle le livre. Mais comme souvent alors mes coups de cœur, j’ai un peu de mal à mettre des mots sur mes idées.
Mais je vais faire un effort, ne serais-ce que car je crois que ce serait un crime que vous ne vous précipitiez pas pour lire When Beauty tamed the Beast d’Eloisa James.
Eloisa, nous vous en avons déjà parlé, mais c’est la première fois qu’elle est à l’honneur, et je suis finalement contente d’avoir attendu ce livre pour lui consacrer une chronique, car il est entré directement au Panthéon de mes meilleures romances, et est incontestablement (Tam-Tam a approuvé) le meilleur d’Eloisa !
De quoi parle When Beauty tamed the Beast?C’est l’histoire de Linnet, une jeune fille plus belle encore que tout ce que nos mots de simples mortels peuvent exprimer. Une peau d’albâtre, des yeux où scintillent toutes les étoiles du ciel, des dents de perle, une chevelure de soie et un rire plus exquis que le tintinnabulement des grelots.C’est l’histoire de Piers, un ours qui vit reclus dans un château du Pays de Galles. Un ours qui est aussi médecin, éhontément copié (pour mon plus grand bonheur) sur le personnage du Dr. Gregory House (que j’aime d’amour).C’est l’histoire d’un scandale : une jeune fille aurait été compromise hors des liens sacrés du mariage, et peu importe que cela soit complètement faux, il faut lui faire quitter Londres au plus vite.

C’est l’histoire d’une rencontre au milieu d’une ribambelle de personnages secondaires tous plus savoureux les uns que les autres : un père qui veut trouver une femme à son fils, consentant ou pas, une aristocrate française, véritable icône de mode, un majordome qui n’a rien compris aux codes de la bienséance, une ribambelle de jeunes docteurs et une infirmière acariâtre…

C’est l’histoire de deux héros qui sont bien plus que ce que leur apparence laisse à penser, d’une bête au fort mauvais caractère qui sera apprivoisé par sa belle, pas intimidée pour deux sous par son attitude peu avenante.

C’est aussi, comme il se doit, l’histoire de quelques péripéties, pas forcément très roses et qui changeront à jamais le caractère de nos héros, les rendant à chaque instant plus réels à nos yeux.
En bref, c’est l’histoire d’un merveilleux conte de fée où tout est bien qui finit bien, version modernisée de La Belle et la Bête, et c’est, en ce qui me concerne, c’est l’histoire d’un énorme coup de cœur !Eloisa nous raconte une histoire où l’amour ne cède jamais à la facilité, avec une plume experte, et j’ai été bouleversée par l’intensité avec laquelle elle nous décrit les émotions  de ses personnages, enchantée par la vivacité des dialogues entre Linnet et Piers.Je ne m’étendrais pas davantage sur le sujet pour mieux vous laisser le plaisir de la découverte, mais ce livre dévoré en 48h est un must-have absolu selon moi alors n’hésitez pas !
Bonne lecture,
Chi-Chi

Merry Xmas

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Joyeux Noël à toutes!!!
Que le pouvoir de la licorne arc-en-ciel et de l’angelot chantant sur un lit de paillettes fasse en sorte que tes souliers soient pleins de romances.

Mangez bien, buvez bien (et pas que du champony, il y a le mister cocktail aussi), et n’oubliez pas que Christmas is all around!!!

Tam-Tam

Ne me tente pas

Ou « Don’t Tempt me », deuxième opus de la série « Fallen women » de Loretta Chase.
Tiens d’ailleurs c’est quoi cette manie de ne pas mettre les « séries » de référence à chaque fois chez J’ai Lu?

Mais je m’égare alors que j’ai un livre à chroniquer moi. Et puis un livre qui a un résumé bien accrocheur:
Zoé Lexham, revenue d’entre les morts et portée disparue après 12 ans passés dans un harem en Orient, est de retour à Londres, et par la même occasion, dans la vie de Lucien de Grey, Duc de Marchemont.

Et 12 ans dans un harem, ça vous change une manière de penser. Si naviguer dans les eaux troubles des intrigues du gynécée derrière les portes gardées par les eunuques était compliqué, avoir retrouver la place qui est la sienne dans la haute société « bien comme il faut » n’est pas plus simple. Et notre héroïne aura besoin de toute l’aide possible, même celle de Lucien, à la réputation scandaleusement dangereuse…

Les histoires de harem, j’en ai lu toute une série quand c’était à la mode (c’est un peu comme les romance viking, ou western, c’est symptomatique d’une époque). Et puis la mode est passé à autre chose (au BDSM et au fantastique je crois) et j’ai délaissé le genre. Mais en lisant ce résumé, les frissons de ma jeunesse sont revenus, et je me suis dit qu’elle avait du en apprendre des trucs au harem, et qu’avec un héros à la réputation scandaleuse, je tenais peut être dans mes mains une romance qui me ferai frémir et rougir. Cerise sur le gâteau, mon livre était un Loretta Chase, rêver était donc permis (je ne m’aventurerai pas à parler statistique, mais vous avez compris l’idée).

Et puis j’ai lu.
Lentement.
Et j’ai fini.
Laborieusement.

Et me voilà aujourd’hui, contrainte et forcée de vous dire que le livre est bien. Vraiment bien. Les dialogues entre nos deux héros ne sont pas sans piquant et la dynamique de l’histoire est agréable. Satisfaisante même.

Mais « ensemble satisfaisant », pour un Loretta Chase avec des histoires d’héroïne au harem et de héros à l’aura emprunt de scandale, c’est presque décevant. Ce qui a créé cette interrogation : le synopsis ne serait-il pas un instrument plus dangereux qu’autre chose?

Parce que, dans ce cas précis, il a stimulé ma curiosité, fait monter mes attentes et clairement a été un  instrument capital dans ma deception relative au final.

C’est sans doute un dosage très délicat, qui fait écho à cette phrase des Monthy Pythons que j’aime beaucoup: « Mieux vaut s’attendre au pire, on est jamais décus » (No one expects the Spanish inquisition en VO).

Bonne lecture,
Tam-Tam

La princesse de Siam

(Réédition du 07/03/2011)
Le soleil brille ce weekend.
C’est un soleil d’hiver, lorsqu’il caresse mon visage avec délicatesse, je ne crains pas la morsure douloureuse de ses rayons, mais me languis de sa chaleur. Le retour du soleil me donne toujours des envies de vacances.
C’est un peu comme si j’aspirais à retrouver la langueur des jours d’août où il fait si chaud que l’on commence à vivre à la tombée de la nuit. Le soleil me donne envie de partir.
Loin.
Mais nous sommes en mars, et si on n’est pas sensé se découvrir d’un fil en avril, imaginez le mois qui précède ! Du coup, c’est décidé, aujourd’hui, je vous emmène à l’autre bout du monde, où il fait surement beau et chaud !
Je vous emmène en Thaïlande, ou plutôt au Siam. Car c’était ainsi que ce magnifique pays était appelé à la fin du 19ème siècle, au moment où s’ouvre La princesse de Siam d’Alexandra Jones.
Et guise de fil rouge, nous allons suivre le récit de la vie d’Elly Hjelm, ressortissante danoise et de Phra Tod Bankhon, aristocrate siamois.

Après une enfance au Siam, Elly est renvoyé au Danemark, chez son oncle et sa tante, afin de parfaire son éducation et devenir une jeune fille comme il faut. Mais Elly est malheureuse loin de ce pays exotique qui l’a vue naitre et n’a qu’un but, y retourner en qualité de médecin (fin 19ème, super easy comme projet de vie!). Pendant ce temps, au Siam, Tod continue lui aussi son chemin d’apprentissage de la vie auprès de son mentor, Phra Preecha, puis donne dans le commerce de jade (trafic serait sans doute un mot plus convenable, mais j’ai des égards pour la noblesse du héros)… Chacun de leur côté, les épreuves s’enchainent pour nos deux héros jusqu’au moment où enfin, les voilà tout deux réunis géographiquement.

Au delà de la simple histoire entre ces deux caractères bien trempés, on voit se profiler des changements dans ce pays aux règles si étrangères des nôtres. La fin du 19ème siècle et le début du 20ème riment pour les européens avec les grands empires coloniaux et l’arrivée de la première guerre mondiale. A l’autre bout du monde, la vie n’est pas moins compliquée et les passions se déchainent (il faut dire qu’entre une danoise et un baron du Siam, la simplicité n’a pas vraiment sa place).

Elly et Tod sont loin d’être parfaits. Leur couple…comment dire… Les couples mixtes sont bien trop souvent idéalisés comme une chose fabuleusement exotique, un pont entre deux cultures, le meilleur des deux mondes. Mais dans la vraie vie, celle où les petits poneys n’ont pas de place dans l’écurie, l’alliance entre deux cultures rime bien souvent avec clash et compromis. Et c’est exactement ce qu’est leur couple, une rencontre passionnée et douloureuse entre deux cultures. C’est  finalement dans le réalisme et les difficultés qu’ils traversent que j’ai apprécié ce voyage en ces terres complètement étrangères pour moi.

La princesse de Siam a su me charmer de ses paysages, de ses noms exotiques, de ses personnages tellement étranges et par dessus tout de ces instants chargés d’histoire auxquels j’avais l’impression de participer.

Si comme moi vous avez envie de vacances, suivez-moi dans cette parenthèse historique et vivez vous aussi le temps d’un livre, au rythme de la mousson.

Bonne lecture
Tam-Tam

Ariel en dedicaces!

A défaut de pouvoir nous deplacer, nous avons la chance d’avoir pu envoyer une émissaire pour ces deux rencontres au sommet, avec la complicité d’une amie et lectrice fidèle depuis le 1er jour! <3

Kristan Higgins et Eloisa James, de passage en France, ont toutes les deux eu droit à leur photo avec notre star personnelle, et eu la chance d’apprécier sa taille et son energie… Quand à ce qu’elles ont bien pu se raconter, cela restera à jamais un secret, Ariel est jolie en photo mais hélas pas très bavarde.

Ceci dit, quelle chance scadaleuse, la prochaine fois je me met moi-même dans le colis pour mieux vous raconter ! ;)

Love,
Chi-Chi

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Edenbrooke

Ce moment ATROCE où il est minuit trente, j’essaye de m’endormir (je suis insomniaque), et je réalise qu’après avoir procrastiné toute la journée, je n’ai pas écrit mon article pour le lendemain…

Ce moment encore plus atroce où il est minuit cinquante et après avoir écrit ledit article, mon ordinateur plante et perd tout et là, j’en pleurerait de rage!!!!!!!! (et j’envoie des textos pas polis du tout à T. qui va halluciner en les lisant demain matin…)

Ce moment on ne peut plus pénible où, il est une heure dix (mon ordinateur met littéralement dix minutes à se rallumer, oui, il est presque aussi vieux que moi), et où je recommence mon article.

Autant de dire que vous allez me pardonner le coté un peu décousu de mes propos!

Pour mon anniversaire, T. m’a envoyé un care-package. Dedans un livre, Edenbrooke de Julianne Donaldson. Il ne vous a pas échappé, et à T. non plus, que je suis dans une looongue phase de contemporain. Et ça c’est un historique. Dubitative, j’étais. Et puis j’ouvre le livre, et là, une dédicace de l’auteur, et une carte, signée par une tierce personne. Je vous rejoue la scène :

T. –  Penny, tu n’aurais pas une recommandation de livre pour Chi-Chi, c’est son anniversaire et elle ne jure que par Drew en ce moment…

Penny – Son anniversaire? Ok, bouge pas, j’ai encore mieux, je t’envoie un truc, elle va kiffer! (manifestement Penny n’a pas eu le mémo du contemporain)

Moi à la réception du colis – OH PUNAISE T. COMMENT TU AS FAIT CA????

T. – Facile, j’ai des relations moi Madame! L’année prochaine, c’est Julia Quinn qui vient te chanter Joyeux anniversaire!

Moi – WHAAAT??! Trop sympa, merci Penny!

Voila comment je me suis retrouvée avec entre les mains un livré dédicacé par l’auteur, et une carte d’anniversaire de Penny Reid, qui me dit que c’est le livre qui contient sa scène de déclaration d’amour préférée de tous les temps.

Elle est quand même trop stylée notre T., non? Ok, je suis flattée et en rupture d’inspiration, je vais lire le livre…

Et WAOUH! Penny ne m’avait pas menti sur le coté follement romantique de l’affaire!

C’est une romance tendre, rétro à la limite du too-much parfois, mais waouh, Philip, le héros… Vous parlez d’un homme amoureux, il est à tomber à la renverse! Un peu frustrant à quel point Marianne ne le voit pas parfois, mais aussi, un livre dévoré en une nuit, et que je vous recommande d’autant plus vivement que c’est mon premier 5 étoiles Goodreads pour un historique depuis plus de 18 mois. Penny n’a pas menti, j’ai kiffé!

Sur ces bonnes paroles, je vais dormir, et vous, vous savez ce qu’il vous reste à faire (en plus le livre est traduit chez Milady) !

Bonne lecture,

Chi-Chi

Où il est question de prince pas si charmant

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Réédition du 03/03/2011

Certaines personnes ici suivent mes mésaventures sur Facebook et savent ce que cette chronique de Charming the prince m’a couté!

En effet, mes chers lecteurs (toujours au masculin car je sais que quelques hommes s’égarent ici parfois, par fidélité et amitié pour Tam-Tam et moi), j’avais écrit une ma-gni-fique chronique il y a déjà quelques semaines, et mon ordi chéri s’est chargé de la faire disparaître fort consciencieusement.

Seulement voilà, impossible de me souvenir de mon angle d’attaque (car oui, j’écris mes articles avec un angle d’attaque), impossible de me souvenir de quel aspect du livre je voulais vous parler, impossible de retrouver tous ces bons mots d’humour que vous auriez tant apprécié. Alors tant pis, me voilà obligée de tout recommencer, et vous devrez me croire sur parole, mon article était génial, et nul ne le lira jamais…

De désespoir, j’ai tenté de me pendre avec ma trousse, mais là encore, mon ordinateur est intervenu. Ne me demandez pas comment, le clavier m’a appelé, un truc un peu mystique, et voilà comment je me retrouve à faire une nouvelle tentative. Cette chronique ne sera pas aussi bien que la précédente, rien ne pourra jamais être à la hauteur du chef d’œuvre perdu (c’est d’autant plus vrai que personne ne pourra me contredire, pas même moi puisque ma mémoire me trahit) mais j’ai décidé que vous devriez être solidaires avec moi et souffrir vous aussi des méfaits de l’informatique…

De quoi parle donc Charming the prince? Déjà, vous savez que c’est un livre extraordinaire écrit par Teresa Medeiros, puisqu’en lecteurs assidus, vous vous souvenez tous de mon Top 15…

Pour le reste, voici quelques informations essentielles à savoir pour apprécier l’histoire de Lord Bannor The Bold (Le Hardi en VF) et sa tendre dulcinée, Lady Willow de Bedlington.

Lui est un fier chevalier, du temps où les chevaliers partaient guerroyer de longs mois (voir années), pour Dieu et le Roy, terroriser ces lavettes de français, laissant dans leur château de la lointaine Albion femme et enfants. Notre Lord, lorsque débute l’histoire, s’en revient donc d’une longue absence, et retrouve, avec bonheur et enthousiasme (ou pas) une tripotée d’enfants dont il avait plus ou moins (et fort opportunément) oublié l’existence…

Ces charmants bambins, bâtards dépourvus de mères et de toute forme d’éducation, terrorisent notre Lord (et toute personne à son service) plus que n’importe quelle armée française n’a jamais pu le faire… Pas très flatteur pour la France ou terriblement flatteur pour les enfants, je n’ai jamais pu me décider. Oh et ais-je mentionné que le nombre des charmants bambins en question va chercher dans la douzaine? C’est que ce pauvre Bannor est si beau que les femmes ne savent pas lui résister, et du coup, à chaque fois, hop, un enfant! Si seulement il avait pu naître moche, mais non… Ô rage, ô désespoir!

Il lui faut donc trouver un moyen de discipliner sa marmaille, ou sinon notre héros va craquer et re-déclencher une guerre, n’importe où pourvu que ce soit loin de chez lui! Et vu sa réputation, croyez-moi, personne n’a envie que ce soit la guerre… Or, quelle meilleure solution, pour un homme en besoin d’une gouvernante, que de prendre une épouse, je vous le demande? C’est donc tout naturellement que Bannor demande à son majordome de lui dégotter une femme qui jouera le rôle de mère (et accessoirement de sergent-instructeur) pour la petite troupe. Et attention, condition fondamentale, il faut que la dame en question soit assez moche pour que ce pauvre homme, qui ne parvient jamais à résister à la beauté, n’ait pas envie de lui faire des enfants, il aurait tendance à trouver qu’il en a déjà un peu trop à son goût!

C’est la malheureuse Lady Willow qui à la chance insigne d’être choisie pour cette tache. Toutes mes condoléances, cela ne va pas être de la tarte! Deux petits soucis cependant : c’est une vraie beauté et, après avoir élevé ses petites sœurs, elle en a par dessus la tête des enfants et ne souhaite pas en avoir de sitôt!

Je vous laisse imaginer comme Bannor est ravie de se retrouver marié à une beauté qu’il ne rêve que de mettre dans son lit et comme Willow est enchantée de recevoir en cadeau de mariage douze enfants insupportables.

Voilà des augures prometteuses pour un mariage harmonieux je crois…

En tout cas, pour nous lecteurs, ce sont les bases d’une histoire à mourir de rire, car Teresa Medeiros sait nous raconter les aventures et mésaventures de nos héros avec un humour peu commun, et une tendresse caractéristique de son style d’écriture! Bannor et Willow finiront par s’entendre, et miracle, les enfants eux-mêmes apprendront quelques bonnes manières au passage…

Maintenant que j’ai écrit pour vos beaux yeux non pas une, mais deux chroniques sur l’une de mes romances préférées, vous n’aurez plus d’excuses pour ne pas l’avoir lu vous aussi! ^_^

Bonne lecture,
Chi-Chi

Esprit de Famille

18460015Petite séance cinéma ce mercredi…
Et pile dans l’esprit de ce mois dites! Je progresse!

Parce que oui, « Esprit de Famille » plante son décors en plein dans la célébration des fêtes de Noël.
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Il y est question de Meredith, invitée pour la première fois chez les Stone pour fêter Noël…….
Et je voudrais bien vous raconter à quel point c’est choupi et a quel point j’aime ce film de Noël parce qu’il me rappelle que même les familles qui vendent du rêve ne sont pas que gentille et bienveillante, je n’ai pas le temps.
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J’ai poney. J’ai piscine. J’ai course de luge…
En bref, j’ai juste le temps de m’inventer un emploi du temps formidable… mais vous me pardonnez, puisque je vous offre l’esprit de Noel?

Tam-Tam