Once upon a Marquess

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Courtney Milan nous a gâté(e)s un peu avant les fêtes par la sortie du premier opus de sa nouvelle saga autour de la famille « Worth ». Comme je suis faible et que je ne sais résister à l’appel d’un bon historique, j’étais bien entendu sur le coup. Cerise sur le Christmas pudding, je n’étais pas seule. J’ai en effet été conviée à une LC en compagnie d’autres amatrices d’hommes en collants et de femmes en jupons (Hibana, Julia, Chi-Chi, pour ne pas les citer).

Et le bilan de « Once upon a Marquess » est synthétique: « c’est vachement lent à se mettre en place, mais c’est quand meme bien couinant… surtout à la fin » (oui, on est très littéraires et extrèmement technique en terme de jargon lorsqu’on fait le bilan d’une romance!).

C’est vachement lent… Sans doute parce que c’est le début d’une série. J’ai clairement senti de la part de l’auteur une volonté de nous mettre en place un certain nombre de problématiques autour de la fraterie Worth. L’histoire de ce tome autour de Judith, la fille ainée, et Christian Trent, le fameux « Marquess » du titre donne les bases d’un historique familial complexe et difficile.

Et par difficile, comprendre GRAVE difficile! Au début de notre histoire, Judith ne veut pas entendre parler du héros. Il est suggéré que quelque chose est arrivé dans le passé (on en apprend plus à la lecture, mais je ne vais pas spoiler) et que Christian est la dernière personne sur terre à qui elle veut avoir à faire et encore moins à qui elle veut demander un service.

Sauf que poussée par le desespoir, elle contacte Trent (pour une raison que je vous laisse découvrir)(je suis décidément très mystérieuse aujourd’hui), et lui demande son aide.

S’en suit une construction lente, vraiment lente. Mais sans longueurs. Ironique? Non. En fait, c’est lent, vraiment. Et il me tardait vraiment que nos deux héros entre dans la partie « on déballe tout et on résout nos différends ». Mais j’ai subis cette lenteur sans ressentir cet agacement et cette frustration qui m’habite parfois lorsque l’histoire n’avance pas et qu’elle part dans tous les sens. Ici non. L’auteur sait où elle veut nous mener et elle construit consciencieusement la trame de sa série. Sans doute un peu au détriment du rythme.

Mais oh boy ce que j’ai couiné sur la fin. Alors certes, le dénouement est plutot rapide, mais ce n’est pas non plus le dénouement « coup-de-baguette-magique-parce-que-l’on-n’a-plus-le-temps-de-vraiment-résoudre-tout-ce-bazar que-j’ai-installé », fort heureusement, sinon nous aurions une discussion différente aujourd’hui…

Alors oui, Judith et Christian finssent par parler du passé; oui, l’arc total de la série s’annonce génial; oui, les personnages secondaires sont déjà croustillants de profondeur; oui Christian est sexy en diable; oui, Judith fait très bien la victime stoique; et oui, on couine à mort sur la fin mais… il faudra vous armer de patience!

Voilà!

Bonne lecture,

Tam-Tam

Trade me

Trade me, le dernier Courtney Milan.

Son premier contemporain. Le premier tome d’une nouvelle série… Et globalement, une déception.

Avant d’aller plus loin, vous devez savoir 2 choses:

Premièrement, je suis dans une ère « historique ». Je ne peux décemment plus appeler cela une phase, cela fait 3 ans que je suis dedans. Je dois lire 1 contemporain pour 19 historiques. Je pourrai faire un bilan plus détaillé, mais globalement, j’ai 3 Julie James de retard, 2 Kristan Higgins (la honte, je sais). Je n’ai pas lu de nouvel auteur contemporain depuis 3 ans, et j’applaudis à l’idée de relire du Lisa Kleypas historique!

Et deux, dites bonjour à Chi-Chi qui va nous accompagner aujourd’hui (2 princesses pour le prix d’une, encore, on vous gâte!!). Elle me tient à l’œil.

Salut tout le monde! Je me présente, moi c’est Chi-Chi! En fait vous ne le savez pas, mais je suis là sur tous les articles de T. (et vice versa) – là on essaye un nouveau truc pour vous faire partager et que ce soit plus fun!  Pour l’ère historique, cela tombe bien car pour moi c’est l’exact contraire, je ne lis presque plus que du contemporain – nos listes Goodreads en témoignent! On s’assortit bien finalement… Et aussi, je crois pouvoir affirmer que j’ai plus aimé le livre que T. même si j’avoue qu’il est loin d’être parfait.

Passons maintenant au vif du sujet car notre amie Tina ne saurait attendre plus longtemps. Elle n’aime pas attendre Tina. Elle n’a qu’une hâte, en avoir fini avec l’université et avoir un boulot. Un boulot qui payerait bien. Un boulot qui lui permettrait enfin de sortir ses parents de l’abysse financier dans lequel ils semblent tomber tous les mois.

Moi je préfère essayer de me trouver un riche mari, c’est moins de boulot sur le long terme, surtout s’il n’est pas trop jeune! Mon objectif dans la vie étant de devenir une femme entretenue avec un dressing digne de Victoria Beckham, mais nous avons déjà établi que je n’avais pas le potentiel pour devenir une héroïne de romance…

Et si il y a une chose pour laquelle elle n’a pas le temps, c’est Blake Reynold, héritier milliardaire de Cyclone Technology. Vous ne connaissez pas Cyclone Technology? C’est Apple, Microsoft et Google, le tout mixé avec force dans le shaker à cocktail de la haute technologie.

Blake, de son côté, a tout du lover boy a qui la vie a tout donné. Il est brillant, blindé et absolument charmant. Et lorsqu’il propose à Tina d’échanger sa vie pour la sienne, elle croit à une blague.

Mais attention hein, si vous croyez que Blake est un gosse de riche à la cervelle vide, un prince charmant bon à aligner les conquètes (comme Tina et ses préjugés donc), vous allez être surpris.

Elle tourne et retourne le contrat (parce que oui, il y a contrat, et pas ce genre de contrat) pour trouver la faille, le piège et finit par accepter. Elle échangera donc sa vie contre la sienne. Et par cela, elle vivra dans son appart, percevra son salaire, utilisera sa voiture et en échange, il devra vivre dans le trou à rat qu’elle appelle « maison », devra faire les journées de 18h de travail en quasi-continu qu’elle enchaine, et devra aider sa famille à boucler les fins de mois.

Là où cela devient fun, c’est que Tina galère comme une dingue, tandis que Blake survole les difficultés. Même sans argent, son charisme et son aura surhumaine l’aident en toutes circonstances! Cela me fend le cœur de le dire, mais (on a oublié de préciser, c’est un New Adult) Courtney a fait de son héros un cliché ambulant…

Pourquoi un tel deal? Quelle peut bien être la folie qui a saisi notre héros pour que soudainement la vie de Tina soit paradisiaque à côté de la sienne…

Forcément, il y a anguille sous roche, hippopotame sous caillou, baleine sous gravillon…

Astéroïde sous goutte d’eau, ça marche?

Alors je pourrais spoiler. Je pourrais vous dire de quoi il retourne. Mais non, à la place je vais vous expliquer pourquoi je n’ai pas aimé, au delà du fait que ce n’est pas un  historique…

Le rythme :
On passe les deux tiers de la romance à mettre en place tout le bazar autour du deal. Et juste le deal. Pas d’interactions plus approfondies entre les personnages, qui ils sont, d’où ils viennent et le pourquoi du comment de leurs sentiments profonds…

Là je suis d’accord. C’est long à démarrer et après 14253 péripéties dans le dernier tiers. Et beaucoup beaucoup trop de détails technologiques à mon gout. Et beaucoup trop de détails sur le travail de Tina, qui sans aucune formation, intègre la boite de Blake (de son coté à lui, il devient serveur, challenge nettement moins challenging je trouve!) 

L’alchimie :
J’ai fini le livre, j’ai digéré le livre, et je ne crois toujours pas vraiment à leur histoire.
C’est triste, mais bon… Le golden boy avec un trust-fund et la jeune boursière, 1ere génération d’immigrants chinois. J’ai même pas rougi au moment du « rapprochement culturel ». Il faisait froid, j’aurais bien aimé!

Oui, c’est vrai que leur relation n’a pas beaucoup de sens, mais ils ont leurs moments mignons. Bizarrement, là où Courtney excelle d’habitude, ses scènes sexy tombent un peu à plat. Mais il y a une belle déclaration d’amour. Et la relation entre Blake et son père est très touchante aussi. Comment ça on s’en fiche, ce n’est pas l’histoire d’amour qui nous intéresse? C’est quand même de l’amour moi je dis! 

Les passifs :
Don’t even get me started!
Vous pensiez que certains héros de l’auteur étaient sombres et torturés? Vous pensiez que certains des héros de l’auteur avaient des passifs de folie? Préparez vous! Vous aurez droit à du complexe, de l’intense, et du psychologiquement avancé à un point tel que cela pénalise l’histoire. Ou alors je ne voulais pas de quelque chose d’aussi intense et rude.

Marrant, de mon coté, je ne l’ai pas trouvé si gratiné que ça, le passif de Blake? Oui, il a un trauma, Tina aussi traine quelques casseroles, mais pas plus ou moins que dans 90% des livres qui sortent en ce moment. C’est aussi probablement là que se fait la différence entre T. et moi, les histoires de Blake sont crédibles et j’ai même trouvé que c’était original comme problème – un peu sous-traité mais abordé intelligemment!

Bilan :
Je n’ai qu’une hâte, que Courtney repasse à l’historique!

Tam-Tam

Ben bilan pour moi, j’ai bien aimé, et si vous êtes fan de NA, et fans de Courtney Milan, je pense que vous passerez un bon moment en lisant Trade me (qui au passage promet d’être le premier tome d’une série – attendons de voir ce que nous réserve la suite)!

Bonne lecture de mon coté,

Chi-Chi

 

The suffragette scandal – Brothers Sinister 4


Ahhhh… le dernier Courtney Milan (en fait, ce n’est pas vraiment le dernier, pour nous faire tenir, l’auteur a sorti une novella depuis, Talk sweetly to me)…

C’est toujours un très grand plaisir pour moi de parler des dernières sorties de l’auteur. Il me tarde d’ailleurs que vous puissiez lire le tome 2 de cette série en français, mais pour les petites chanceuses qui se précipitent sur la VO dès sa sortie, voici l’histoire de Free!!!

Souvenez-vous, la petite sœur d’Oliver, le rouquin de la série! Cette dernière a depuis toujours des aspirations de justice et s’emploie à changer le monde, une édition de journal à la fois. Mais soutenir la cause des femmes lui vaut de s’attirer des ennemis, et pas des moindres… Des puissants du monde qui verrait bien cette « hystérique » proprement « remise à sa place ». Et le monde est ainsi fait que son combat est d’emblée inégal, et certains diraient même, perdu d’avance…

C’était sans compter sur Edward Clark. Cet homme est un cynique parmi les plus cyniques, et voit l’idéalisme de la jeune fille comme une forme futile de naïveté. Mais il nous est impossible de lui en vouloir. Edward a en effet des raisons légitimes d’avoir cette vision noire du monde. Sa famille l’a rejeté, abandonné et laissé pour mort en pleine zone de combat.

Si bien que lorsque son frère décide d’utiliser son pouvoir et son influence pour faire taire Free, Edward décide que naïveté ou pas, il la sauvera, envers et contre elle-même s’il le faut, quitte à mentir et tromper… Mais alors qu’il s’attendait à de la naïveté et de l’ignorance matinée d’une dose d’arrogance, Free se révèle bien plus que cela, et elle vaut la peine d’oublier sa vengeance, et de se redécouvrir emprunt de sentiments disparus…

Comme souvent, ce qui commence dans un mensonge est la recette d’un désastre, et j’ai retenu mon souffle jusqu’à la fin. Parce que Free est aussi intègre qu’elle est butée. Mais Edward le vaut tellement.

L’auteur a encore une fois réussi la prouesse de nous créer des personnages complexes et la magie de ses histoires est qu’elle ne prend pas la solution de facilité mais mène ses personnages jusqu’au point de rupture, leur donnant une profondeur que j’adore.

Je ne pense pas lire la nouvelle tout de suite, cas je vais sans doute avoir du mal à dire au revoir aux Frères Sinister, mais je me réjouis de vos prochaines découvertes!

Bonne lecture,
Tam-Tam

Trois (presque 4) pour le prix d’un

Si vous saviez comme je suis assidue à mon écriture…

Du genre à rédiger 7/8 articles à la chaine et puis à ne plus toucher à rien pendant 2 mois… Genre là, j’écris cet article la veille alors que la séance d’écriture précédente datait de mi-aout. Normal.

Pour l’occasion, je vais vous dire deux mots de quelques livres très chouettes lus ces derniers temps et sur lesquels je pense que vous devriez vous précipiter. Comme d’hab, la routine, on ne va pas y passer la nuit, et pour résumer, sachez quand même que sur 1 livres que je vous recommande, j’en ai généralement lu 2 qui passent aux oubliettes !

J’ai donc lu :

Lead de Kylie Scott – Tome 3 de la série Stage Dive.

Le tome 2 reste mon préféré (Mal !!! <3) (oui maintenant je mets des smileys dans mes chroniques) (pardon T. je promets que je ne le ferai plus) (mais je suis fatiguée) (normalement c’est moi qui râle pour qu’on évite les smileys). Je disais donc, le tome 2 reste mon préféré mais Jimmy, chanteur et bad-boy en titre – un alcoolique et drogué qui ne fait pas semblant et a quand même tenu le rôle du « méchant » dans le tome 1, s’en sort avec les honneurs, et vient devancer David et Eve dans mon petit cœur de midinette. Jimmy qui, vous vous en doutez, a bien fait le ménage dans sa vie, est passé par une cure de desintox et fait vraiment des efforts pour rester dans le droit chemin. Efforts qui incluent partager son espace vital avec Lena, son assistante et vraiment, plutôt son pitbull de compagnie puisque son rôle principal est de s’assurer qu’il ne se mette pas à boire sur un malentendu…

Evidemment, vous vous en doutez, ce n’est pas si simple, mais Jimmy est à la hauteur de tout ce que l’on peut imaginer, il se bat pour s’en sortir, il est sexy, il incroyablement talentueux, et il mérite tout ce qui va lui arriver de bien. Super lecture, à ne pas rater, et vous pouvez aller en lire un peu plus chez Cess !

J’ai lu aussi :

Irrepressible you de Georgina Penney

Je ne me souviens même pas de comment je suis tombée sur ce résumé. Ben Martindale est british, comédien et écrivain, dans le genre satyrique qui ne s’attire pas que des amis. Tellement pas qu’il décide de s’installer en Australie le temps d’écrire son nouveau roman. Entre deux pages blanches, il rencontre Amy, une poupée pin-up 50’s en chair et en os. Tout, de la pointe de ses cheveux blonds platine parfaitement coiffés jusqu’à la pointe de ses mules à pompons, en passant par ses robes vintage et sa maison en sucre glace, tout est un cliché d’une autre époque, et Ben, frappé d’illumination, se dit que ce serait un bon sujet pour sa chronique hebdomadaire. La suite logique, c’est bien évidemment de s’insinuer dans la vie d’Amy, et de l’utiliser, sans le lui dire, pour faire rire les gens. Et la suite encore plus logique, c’est bien évidemment de voir se développer des répercussions redoutables, car Amy, toute précieuse qu’elle soit, n’est pas une idiote.

J’ai adoré, à un tout petit détail près dans le timing de l’histoire. Mais c’est chou comme tout, c’est drôle, c’est bien écrit, et ça se passe en Australie, histoire de changer un peu !

Et le hasard faisant bien les choses, j’ai enchainé avec :

Swept off her feet (The vintage girl) de Hester Browne

Oui, l’ouvrage a été publié deux fois sous deux titres différents…

Meet Evie, experte en vieilles choses. J’aimerai pouvoir vous dire antiquités, mais vraiment, Evie aime les vieilles choses, pas seulement celles qui ont de la valeur. Voir, surtout celles qui n’ont pas de valeur. La moitié de son salaire passe pour rembourser à son patron (qui lui est vraiment antiquaire) toutes les vieilleries sur lesquelles elle craque quand elle fait les brocantes pour lui. Evie qui vient d’être invitée à expertiser et cataloguer le contenu entier d’un château écossais et dont l’imagination s’emballe déjà !

De fil en aiguille, de Londres au fin fond de l’Ecosse, et d’une vieillerie à une autre, c’est toute une histoire familiale qu’Evie met à jour (ou c’est ce qu’elle croit… suspens, suspens…). Je n’en dis pas plus, c’est un livre qui commence comme de la chick-lit, et n’en est en fait pas du tout, c’est un livre léger et drôle (parce que Evie) et c’est aussi un livre où l’héroïne a du bon sens, elle sonne juste, et Dieu merci car cela n’arrive pas assez souvent à mon gout !

Bon c’est aussi une jolie histoire sur des gens amoureux, mais cela je vous laisse le découvrir par vous-même !

Enfin, il était indispensable de mentionner Talk sweetly to me de Courtney Milan, petite nouvelle A-DO-RABLE qui vient conclure la série des Frères Sinister sur une note tendre et juste, comme toujours. Stephen Shaughnessy, Actual Man (lisez The Sufragette scandal, vous verrez), est à la hauteur de toutes mes espérances, et Miss Rose Sweetly, la plus charmante des héroïnes !

Sur ces bonnes paroles, je vous souhaite une excellente lecture !

Chi-Chi

Relectures de l’été

Night play – Jeux nocturnes

Contrairement à ma comparse, je suis une grande afficionado des relectures. Mes livres préférés portent d’ailleurs la marque de dizaine et dizaine de lectures. Alfred Jr. la liseuse a un dossier dédié aux relectures, et bien souvent, un livre que je viens de finir passe du dossier PAL au dossier relecture direct, si l’histoire m’a plue.

La relecture, c’est mon « confort read », la lecture doudou des moments où je n’ai pas le temps/l’envie/l’énergie (ne rayer aucune mention) pour m’aventurer dans une nouvelle romance. Et l’été, et plus spécifiquement en période de vacances, je n’affiche pas 25 nouveaux livres au compteur, mais bien souvent 25 relectures.

Pourquoi? Sans doute qu’après nos journées marathons, j’éprouve cette envie de me blottir dans une histoire connue aux héros qui vont systématiquement me faire couiner.

Et cet été, je n’ai pas dérogé à la règle. Mais qui sait, ce qui est une relecture pour moi sera peut-être une découverte pour vous?

White Lies de Linda Howard ainsi que la série complète de Kell Sabin.
Du Linda Howard comme on les aime: du suspense, du muscle, de la sensualité et un happy end en fanfare!

L’homme le plus sexy de Julie James.
Parce que j’avais envie du glamour hollywood à la sauce romance.

The Heiress effect de Courtney Milan.
Relu après la lecture du dernier sorti (chronique à venir… bientôt), parce que décidément, j’aime les rouquins!

-Her favorite rival et The contestant de Sarah Mayberry.
Certes, ils ne sont pas chroniqué ici, certes vous allez me dire qu’en plus c’est une relecture et que je pourrai faire un effort… Mais Chi-Chi en a chroniqué plein (1, 2, 3, 4, 5, et 6) et comme très souvent chez l’auteur, c’est une lecture fort agréable qui fonctionne plutôt pas mal. « The contestant » est un peu un remake de Koh-Lanta avec meurtres et romance à l’intérieur. « Her favorite rival », quant à lui, est une histoire de collègue rivaux… et plus si affinités!

Love Hacked de Penny Reid
Et je réalise que Alex aurait été parfait pour la saga de l’été de l’année dernière!

Fangirl de Rainbow Rowell
Parce que Little B. va entrer en première année à la fac… et que ça me rend bien nostalgique tout ça!

Anthony de Julia Quinn.
C’est toujours le bon moment pour un Bridgerton!!! Et puis, je me serait presque imaginée en train de jouer au croquet!!

Une belle liste n’est ce pas?
Bon après, je pourrait aussi vous parler des autres livres que j’ai lu, mais « La chenille qui fait des trous », toute géniale qu’elle soit, ne tombe pas amoureuse…

Et vous, vous avez (re)lu quoi de beau cet été?

Bonne lecture,
Tam-Tam